faire l'amour dans les buissons

et bonne vacances

Ta vu sa gueule ! On dirait il a vu... une femme toute nue !!   

ça dépend quel genre de femmes

Je me suis fait ban' du forum Beauté sur Ados xD Vous êtes réinscrit tt les 2 ?

j'ai re-été ban hier, Max2012 il m'a signalé ce pd (je suis pas sur de son pseudo)

Oooooooooooooh :-(

j'espère qu'il est mort

Hum moi aussi

il est mort ?

Eh beh non :/

Raaha c'est la merde

Comme tu dis xD

J'ai dis quoi ?

mais t'arrêtes pas de partir en vacances toi !

osef il se connecte plus.

Oui ^^ Enfin, mes parents ne sont pas encore en vacances donc, des fois je reviens chez moi ou je reste chez mes grands-parents lol
Mais a partir de jeudi je pars et ne reviendra qu'à la fin du mois

Et toi Jo' ?

voici un poeme que j'ai rédigé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! moi seul et uniquement moi l'ai rédigé mais on m'a volé lé droi doteur alrs kcé mwa !!!

Dans l'antre de la peur, je plonge corps et âme;
Au fond de ces abîmes, mon esprit se pâme
Enivré par les miasmes fiévreux de la mort,
Indolent, il attend l'heure de son triste sort.
Mon âme affligée par les relents méphitiques
Sent au fond d'elle la vacuité s'enlacer:
Condamnée à errer parmi les narcotiques,
Elle rêve encore de senteurs opiacées.

Moi seul je reste affreux! Hélas, rien n'est immonde.
Moi seul, je suis la honte et la tache du monde.
Ma laideur, vague effroi des astres soucieux,
Perce à travers ma nuit et va salir les cieux.
Je ne vois rien, étant maudit; mais dans l'espace
J'entends, j'entends dans l'eau qui fuit, dans l'air qui passe,
J'entends dans l'univers ce murmure : va-t'en!
Le porc dit au fumier : je méprise Satan.
Je sens la nuit penser que je la déshonore.
Le tourbillonnement du grand souffle sonore,
Le vent du matin, libre et lâché dans le ciel,
Evite mon front morne et pestilentiel.

Dans l'antre de la peur, je plonge corps et âme;
Au fond de ces abîmes, mon esprit se pâme
Enivré par les miasmes fiévreux de la mort,
Indolent, il attend l'heure de son triste sort.
Mon âme affligée par les relents méphitiques
Sent au fond d'elle la vacuité s'enlacer:
Condamnée à errer parmi les narcotiques,
Elle rêve encore de senteurs opiacées.

Moi seul je reste affreux! Hélas, rien n'est immonde.
Moi seul, je suis la honte et la tache du monde.
Ma laideur, vague effroi des astres soucieux,
Perce à travers ma nuit et va salir les cieux.
Je ne vois rien, étant maudit; mais dans l'espace
J'entends, j'entends dans l'eau qui fuit, dans l'air qui passe,
J'entends dans l'univers ce murmure : va-t'en!
Le porc dit au fumier : je méprise Satan.
Je sens la nuit penser que je la déshonore.
Le tourbillonnement du grand souffle sonore,
Le vent du matin, libre et lâché dans le ciel,
Evite mon front morne et pestilentiel.

Dans l'antre de la peur, je plonge corps et âme;
Au fond de ces abîmes, mon esprit se pâme
Enivré par les miasmes fiévreux de la mort,
Indolent, il attend l'heure de son triste sort.
Mon âme affligée par les relents méphitiques
Sent au fond d'elle la vacuité s'enlacer:
Condamnée à errer parmi les narcotiques,
Elle rêve encore de senteurs opiacées.

Moi seul je reste affreux! Hélas, rien n'est immonde.
Moi seul, je suis la honte et la tache du monde.
Ma laideur, vague effroi des astres soucieux,
Perce à travers ma nuit et va salir les cieux.
Je ne vois rien, étant maudit; mais dans l'espace
J'entends, j'entends dans l'eau qui fuit, dans l'air qui passe,
J'entends dans l'univers ce murmure : va-t'en!
Le porc dit au fumier : je méprise Satan.
Je sens la nuit penser que je la déshonore.
Le tourbillonnement du grand souffle sonore,
Le vent du matin, libre et lâché dans le ciel,
Evite mon front morne et pestilentiel.

Dans l'antre de la peur, je plonge corps et âme;
Au fond de ces abîmes, mon esprit se pâme
Enivré par les miasmes fiévreux de la mort,
Indolent, il attend l'heure de son triste sort.
Mon âme affligée par les relents méphitiques
Sent au fond d'elle la vacuité s'enlacer:
Condamnée à errer parmi les narcotiques,
Elle rêve encore de senteurs opiacées.

Moi seul je reste affreux! Hélas, rien n'est immonde.
Moi seul, je suis la honte et la tache du monde.
Ma laideur, vague effroi des astres soucieux,
Perce à travers ma nuit et va salir les cieux.
Je ne vois rien, étant maudit; mais dans l'espace
J'entends, j'entends dans l'eau qui fuit, dans l'air qui passe,
J'entends dans l'univers ce murmure : va-t'en!
Le porc dit au fumier : je méprise Satan.
Je sens la nuit penser que je la déshonore.
Le tourbillonnement du grand souffle sonore,
Le vent du matin, libre et lâché dans le ciel,
Evite mon front morne et pestilentiel.

Dans l'antre de la peur, je plonge corps et âme;
Au fond de ces abîmes, mon esprit se pâme
Enivré par les miasmes fiévreux de la mort,
Indolent, il attend l'heure de son triste sort.
Mon âme affligée par les relents méphitiques
Sent au fond d'elle la vacuité s'enlacer:
Condamnée à errer parmi les narcotiques,
Elle rêve encore de senteurs opiacées.

Moi seul je reste affreux! Hélas, rien n'est immonde.
Moi seul, je suis la honte et la tache du monde.
Ma laideur, vague effroi des astres soucieux,
Perce à travers ma nuit et va salir les cieux.
Je ne vois rien, étant maudit; mais dans l'espace
J'entends, j'entends dans l'eau qui fuit, dans l'air qui passe,
J'entends dans l'univers ce murmure : va-t'en!
Le porc dit au fumier : je méprise Satan.
Je sens la nuit penser que je la déshonore.
Le tourbillonnement du grand souffle sonore,
Le vent du matin, libre et lâché dans le ciel,
Evite mon front morne et pestilentiel.

Dans l'antre de la peur, je plonge corps et âme;
Au fond de ces abîmes, mon esprit se pâme
Enivré par les miasmes fiévreux de la mort,
Indolent, il attend l'heure de son triste sort.
Mon âme affligée par les relents méphitiques
Sent au fond d'elle la vacuité s'enlacer:
Condamnée à errer parmi les narcotiques,
Elle rêve encore de senteurs opiacées.

Moi seul je reste affreux! Hélas, rien n'est immonde.
Moi seul, je suis la honte et la tache du monde.
Ma laideur, vague effroi des astres soucieux,
Perce à travers ma nuit et va salir les cieux.
Je ne vois rien, étant maudit; mais dans l'espace
J'entends, j'entends dans l'eau qui fuit, dans l'air qui passe,
J'entends dans l'univers ce murmure : va-t'en!
Le porc dit au fumier : je méprise Satan.
Je sens la nuit penser que je la déshonore.
Le tourbillonnement du grand souffle sonore,
Le vent du matin, libre et lâché dans le ciel,
Evite mon front morne et pestilentiel.

Dans l'antre de la peur, je plonge corps et âme;
Au fond de ces abîmes, mon esprit se pâme
Enivré par les miasmes fiévreux de la mort,
Indolent, il attend l'heure de son triste sort.
Mon âme affligée par les relents méphitiques
Sent au fond d'elle la vacuité s'enlacer:
Condamnée à errer parmi les narcotiques,
Elle rêve encore de senteurs opiacées.

Moi seul je reste affreux! Hélas, rien n'est immonde.
Moi seul, je suis la honte et la tache du monde.
Ma laideur, vague effroi des astres soucieux,
Perce à travers ma nuit et va salir les cieux.
Je ne vois rien, étant maudit; mais dans l'espace
J'entends, j'entends dans l'eau qui fuit, dans l'air qui passe,
J'entends dans l'univers ce murmure : va-t'en!
Le porc dit au fumier : je méprise Satan.
Je sens la nuit penser que je la déshonore.
Le tourbillonnement du grand souffle sonore,
Le vent du matin, libre et lâché dans le ciel,
Evite mon front morne et pestilentiel.

Dans l'antre de la peur, je plonge corps et âme;
Au fond de ces abîmes, mon esprit se pâme
Enivré par les miasmes fiévreux de la mort,
Indolent, il attend l'heure de son triste sort.
Mon âme affligée par les relents méphitiques
Sent au fond d'elle la vacuité s'enlacer:
Condamnée à errer parmi les narcotiques,
Elle rêve encore de senteurs opiacées.

Moi seul je reste affreux! Hélas, rien n'est immonde.
Moi seul, je suis la honte et la tache du monde.
Ma laideur, vague effroi des astres soucieux,
Perce à travers ma nuit et va salir les cieux.
Je ne vois rien, étant maudit; mais dans l'espace
J'entends, j'entends dans l'eau qui fuit, dans l'air qui passe,
J'entends dans l'univers ce murmure : va-t'en!
Le porc dit au fumier : je méprise Satan.
Je sens la nuit penser que je la déshonore.
Le tourbillonnement du grand souffle sonore,
Le vent du matin, libre et lâché dans le ciel,
Evite mon front morne et pestilentiel.

Dans l'antre de la peur, je plonge corps et âme;
Au fond de ces abîmes, mon esprit se pâme
Enivré par les miasmes fiévreux de la mort,
Indolent, il attend l'heure de son triste sort.
Mon âme affligée par les relents méphitiques
Sent au fond d'elle la vacuité s'enlacer:
Condamnée à errer parmi les narcotiques,
Elle rêve encore de senteurs opiacées.

Moi seul je reste affreux! Hélas, rien n'est immonde.
Moi seul, je suis la honte et la tache du monde.
Ma laideur, vague effroi des astres soucieux,
Perce à travers ma nuit et va salir les cieux.
Je ne vois rien, étant maudit; mais dans l'espace
J'entends, j'entends dans l'eau qui fuit, dans l'air qui passe,
J'entends dans l'univers ce murmure : va-t'en!
Le porc dit au fumier : je méprise Satan.
Je sens la nuit penser que je la déshonore.
Le tourbillonnement du grand souffle sonore,
Le vent du matin, libre et lâché dans le ciel,
Evite mon front morne et pestilentiel.

La Guerrière a écrit:

Oui ^^ Enfin, mes parents ne sont pas encore en vacances donc, des fois je reviens chez moi ou je reste chez mes grands-parents lol
Mais a partir de jeudi je pars et ne reviendra qu'à la fin du mois

Et toi Jo' ?

Je pars pas moi.

Qui veut voir ma bite ce soir ? Vite avant que je la coupe !

Donne moi le bout que t'es coupé si il est pas trop ramollie.

T'inquiète je l'ai conservé dans du formol, il est intacte, file moi ton adresse je te le poste ! (Nofake je poste vraiment moi !)

Moi aussi, moi aussi